• Didier Barbelivien

    Auteur-compositeur-interprète

    Didier Barbelivien, né le 10 mars 1954 dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, est un auteur-compositeur-interprète français. Wikipédia

    Naissance : 10 mars 1954 (61 ans), Paris

    Épouse : Laure Barbelivien

    Albums : Mes préférences, Vendée 93, Les Amours cassées, plus…

    Enfants : Louise Barbelivien, Lola Barbelivien

    A toutes les filles que j'ai aimées avant
    Qui sont devenues femmes maintenant
    A leur volcan de larmes
    A leur torrent de charme
    Je suis resté adolescent

    A toutes les filles que j'ai aimées avant
    Des cours de lycée en jardin d'enfants
    Aux lettres déchirées
    A leurs baisers volés
    Je suis resté adolescent

    {Refrain:}
    Elles avaient, elles avaient,
    Des océans au fond des yeux
    Elles dansaient, elles dansaient,
    Pour nous garder plus amoureux
    Elles disaient, elles disaient,
    Que l'amour c'est toute une vie à deux
    Elles avaient dans un sourire moqueur
    Quelque chose de secret
    Elles gravaient nos deux coeurs
    Sur les arbres des forêts
    Elles pleuraient comme on pleure
    Quand on a trop aimé

    Des océans au fond des yeux

    A toutes les filles que j'ai aimées avant
    Qui sont devenues femmes maintenant
    De leurs éclats de rire
    A nos nuits de plaisir
    Je suis resté adolescent

    A toutes les filles que j'ai aimées avant
    De plage, de soleil, en dîners dansants
    Aux secrets murmurés
    Aux passions déchirées
    Je suis resté adolescent

    {au Refrain}

    Des océans au fond des yeux

    {au Refrain}

    Des océans au fond des yeux
    ...
    A toutes les filles qu'on a aimées avant...

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  •  Y a un prénom de femme

    Sur le sable mouillé
    Y a des planches à Deauville, 
    Mais je surfe à côté
    Y a des filles qui s'habillent
    Je trouve ça déshabillé
    Y a des slows pour ma bille
    Mais je ne sais pas danser

    Y a des bateaux qui planent
    Genre Méditerranée
    Y a des soldats qui fument
    Des rêves désenchantés
    Y a le soleil qui brûle
    Mais je suis déjà bronzé
    Y a une fille qui m'allume
    Ça c'est une bonne idée

    C'est de quel côté la mer ?
    C'est de quel côté les dunes ?
    C'est de quel côté l'amour ?
    Y a des oranges amères, 
    Ça sent drôlement la guerre
    Passez-moi mon tambour

    Y a des violons qui traînent
    Dans nos cheveux bouclés
    Y a le cri des baleines
    Mais je veux pas en parler
    Y a un coeur à sa chaîne
    En argent certifié
    Y a des maudits je t'aime
    Faudrait pas s'y noyer.

    (Refrain)
    C'est de quel côté la mer, 
    C'est de quel côté les dunes
    C'est de quel côté l'amour
    Y a des oranges amères, 
    Ça sent drôlement la guerre
    Passez-moi mon tambour

    Y a le bunker d'en face
    Quatre étoiles, j'ai la clé
    Y a le marchand de glaces
    Qui finit sa tournée
    Y a des chiens aux yeux bleus
    Mais je peux pas le jurer
    Y a des larmes dans ses yeux
    J'ai cassé sa poupée.

    (au Refrain, x2)

    Paroles: Didier Barbelivien. Musique: Didier Barbelivien   1983
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  •  Demandez-moi de combattre le diable

    D'aller défier les dragons du néant
    De vous construire des tours, des cathédrales
    Sur des sables mouvants
    Demandez-moi de briser les montagnes
    D'aller plonger dans la gueule des volcans
    Tout me paraît réalisable, et pourtant...

    Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
    Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
    Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
    De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

    Demandez-moi de réduire en poussière
    Cette planète où un dieu se perdrait
    Elle est pour moi comme une fourmilière
    Qu'on écrase du pied
    Demandez-moi de tuer la lumière
    Et d'arrêter ce soir le cours du temps
    Tout me paraît réalisable, et pourtant...

    Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
    Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
    Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
    De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

    (instrumental)

    Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
    Devant son coeur de femme, je suis un géant de papier

    Paroles: Sylvain Lebel. Musique: Jeff Barnel   1984 © Vizir Music / Radio Music France
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  •  Il faut laisser le temps au temps

    Et nos amours auraient quinze ans,
    Et nos pères seraient nos enfants,
    Lennon serait encore vivant.
    Il faut laisser le temps au temps
    Et elle m'aurait aimé sûr'ment,
    Quand nous étions deux étudiants,
    Deux oiseaux sur le fil du vent.

    (Refrain)
    Il faut laisser le temps parler librement.
    Il faut laisser les heures couler doucement.
    Il faut laisser nos cœurs chanter différent.
    Il faut laisser le temps au temps.
    Il faut laisser passer les nuits, les jours, les années.
    Il faut laisser danser nos vies, nos rêves, nos idées.
    Il faut laisser tomber la pluie, les matins d'été,
    Et renaître au soleil levant.

    Il faut laisser le temps au temps
    Pour que Vincent ait du talent,
    Que Jimmy devienne un géant,
    L'histoire pour faire un président.
    Il faut laisser le temps au temps
    Et elle m'aurait vu autrement
    Que ce poète indifférent 
    À ces yeux qui me disaient tant.

    (Refrain)

    Il faut laisser le temps parler librement.
    Il faut laisser les heures couler doucement.
    Il faut laisser nos cœurs chanter différent.
    Il faut laisser le temps au temps.

    Paroles: Didier Barbelivien. Musique: Félix Gray   1990 © Zone Music
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  •  (en duo avec Anaïs)


    J'écrivais ton nom sur les pierres
    Sur les cheveux de lierre
    Des ruines abandonnées
    Je t'attendais à la rivière
    Dans le bleu des fougères
    Auprès d'un champs de blé

    J'écrivais ton nom solitaire
    Sur les chemins de terre
    Sur les arbres écorchés
    Je t'attendais dans mes prières
    Dans le feu des bruyères
    Des soleils de janvier

    Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais

    Et les églises se souviennent
    Des tous premiers je t'aime
    Des mariés de Vendée
    Qui couraient à perdre haleine
    Boire à l'eau des fontaines
    Leur tout premier baiser

    Et les moulins se rappellent
    La blancheur des dentelles
    Des mariés de Vendée
    Qui couraient dans les ruelles
    Escaladaient les échelles
    Pour s'aimer dans un grenier

    Je parlais de toi aux nuages
    Aux oiseaux de passage
    A mes poupées d'enfant
    Je t'attendais les nuits d'orage
    Dans les genets sauvages
    Au bord de l'océan

    J'écrivais ton nom sur les plages
    Sur les murs des villages
    Les nuits de la Saint-Jean
    Je t'attendais comme un rivage
    Quand un bateau naufrage
    Au cœur de l'ouragan

    Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais

    Et les églises se souviennent
    Des prénoms de baptême
    Des mariés de Vendée
    Qui couraient à perdre haleine
    Boire à l'eau des fontaines
    Leur tout premier baiser

    Et les étangs se rappellent
    Les serments éternels
    Sous les grands peupliers
    Garde ta main dans la mienne
    Nous serons quoi qu'il advienne
    Des mariés de Vendée.

    Paroles et Musique: Didier Barbelivien   1993 © 1993 Editions Pomme Music
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