-
Par Gerhal272 le 17 Avril 2015 à 15:16
Didier Barbelivien
Auteur-compositeur-interprète
Didier Barbelivien, né le 10 mars 1954 dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, est un auteur-compositeur-interprète français. Wikipédia
Naissance : 10 mars 1954 (61 ans), Paris
Épouse : Laure Barbelivien
Albums : Mes préférences, Vendée 93, Les Amours cassées, plus…
Enfants : Louise Barbelivien, Lola Barbelivien
A toutes les filles que j'ai aimées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
A leur volcan de larmes
A leur torrent de charme
Je suis resté adolescent
A toutes les filles que j'ai aimées avant
Des cours de lycée en jardin d'enfants
Aux lettres déchirées
A leurs baisers volés
Je suis resté adolescent
{Refrain:}
Elles avaient, elles avaient,
Des océans au fond des yeux
Elles dansaient, elles dansaient,
Pour nous garder plus amoureux
Elles disaient, elles disaient,
Que l'amour c'est toute une vie à deux
Elles avaient dans un sourire moqueur
Quelque chose de secret
Elles gravaient nos deux coeurs
Sur les arbres des forêts
Elles pleuraient comme on pleure
Quand on a trop aimé
Des océans au fond des yeux
A toutes les filles que j'ai aimées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
De leurs éclats de rire
A nos nuits de plaisir
Je suis resté adolescent
A toutes les filles que j'ai aimées avant
De plage, de soleil, en dîners dansants
Aux secrets murmurés
Aux passions déchirées
Je suis resté adolescent
{au Refrain}
Des océans au fond des yeux
{au Refrain}
Des océans au fond des yeux
...
A toutes les filles qu'on a aimées avant...
votre commentaire -
Par Gerhal272 le 17 Avril 2015 à 15:10
Y a un prénom de femme
Sur le sable mouillé
Y a des planches à Deauville,
Mais je surfe à côté
Y a des filles qui s'habillent
Je trouve ça déshabillé
Y a des slows pour ma bille
Mais je ne sais pas danser
Y a des bateaux qui planent
Genre Méditerranée
Y a des soldats qui fument
Des rêves désenchantés
Y a le soleil qui brûle
Mais je suis déjà bronzé
Y a une fille qui m'allume
Ça c'est une bonne idée
C'est de quel côté la mer ?
C'est de quel côté les dunes ?
C'est de quel côté l'amour ?
Y a des oranges amères,
Ça sent drôlement la guerre
Passez-moi mon tambour
Y a des violons qui traînent
Dans nos cheveux bouclés
Y a le cri des baleines
Mais je veux pas en parler
Y a un coeur à sa chaîne
En argent certifié
Y a des maudits je t'aime
Faudrait pas s'y noyer.
(Refrain)
C'est de quel côté la mer,
C'est de quel côté les dunes
C'est de quel côté l'amour
Y a des oranges amères,
Ça sent drôlement la guerre
Passez-moi mon tambour
Y a le bunker d'en face
Quatre étoiles, j'ai la clé
Y a le marchand de glaces
Qui finit sa tournée
Y a des chiens aux yeux bleus
Mais je peux pas le jurer
Y a des larmes dans ses yeux
J'ai cassé sa poupée.
(au Refrain, x2)Paroles: Didier Barbelivien. Musique: Didier Barbelivien 1983
votre commentaire -
Par Gerhal272 le 17 Avril 2015 à 15:08
Demandez-moi de combattre le diable
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
Demandez-moi de réduire en poussière
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière
Et d'arrêter ce soir le cours du temps
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
(instrumental)
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son coeur de femme, je suis un géant de papierParoles: Sylvain Lebel. Musique: Jeff Barnel 1984 © Vizir Music / Radio Music France
votre commentaire -
Par Gerhal272 le 17 Avril 2015 à 15:06
Il faut laisser le temps au temps
Et nos amours auraient quinze ans,
Et nos pères seraient nos enfants,
Lennon serait encore vivant.
Il faut laisser le temps au temps
Et elle m'aurait aimé sûr'ment,
Quand nous étions deux étudiants,
Deux oiseaux sur le fil du vent.
(Refrain)
Il faut laisser le temps parler librement.
Il faut laisser les heures couler doucement.
Il faut laisser nos cœurs chanter différent.
Il faut laisser le temps au temps.
Il faut laisser passer les nuits, les jours, les années.
Il faut laisser danser nos vies, nos rêves, nos idées.
Il faut laisser tomber la pluie, les matins d'été,
Et renaître au soleil levant.
Il faut laisser le temps au temps
Pour que Vincent ait du talent,
Que Jimmy devienne un géant,
L'histoire pour faire un président.
Il faut laisser le temps au temps
Et elle m'aurait vu autrement
Que ce poète indifférent
À ces yeux qui me disaient tant.
(Refrain)
Il faut laisser le temps parler librement.
Il faut laisser les heures couler doucement.
Il faut laisser nos cœurs chanter différent.
Il faut laisser le temps au temps.Paroles: Didier Barbelivien. Musique: Félix Gray 1990 © Zone Music
votre commentaire -
Par Gerhal272 le 17 Avril 2015 à 15:04
(en duo avec Anaïs)
J'écrivais ton nom sur les pierres
Sur les cheveux de lierre
Des ruines abandonnées
Je t'attendais à la rivière
Dans le bleu des fougères
Auprès d'un champs de blé
J'écrivais ton nom solitaire
Sur les chemins de terre
Sur les arbres écorchés
Je t'attendais dans mes prières
Dans le feu des bruyères
Des soleils de janvier
Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais
Et les églises se souviennent
Des tous premiers je t'aime
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l'eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les moulins se rappellent
La blancheur des dentelles
Des mariés de Vendée
Qui couraient dans les ruelles
Escaladaient les échelles
Pour s'aimer dans un grenier
Je parlais de toi aux nuages
Aux oiseaux de passage
A mes poupées d'enfant
Je t'attendais les nuits d'orage
Dans les genets sauvages
Au bord de l'océan
J'écrivais ton nom sur les plages
Sur les murs des villages
Les nuits de la Saint-Jean
Je t'attendais comme un rivage
Quand un bateau naufrage
Au cœur de l'ouragan
Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais
Et les églises se souviennent
Des prénoms de baptême
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l'eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les étangs se rappellent
Les serments éternels
Sous les grands peupliers
Garde ta main dans la mienne
Nous serons quoi qu'il advienne
Des mariés de Vendée.Paroles et Musique: Didier Barbelivien 1993 © 1993 Editions Pomme Music
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique